Viva espana!

Après Madrid en début d’année, je suis retourné en Espagne pour profiter d’un climat beaucoup plus clément que dans le nord de la France.

Madrid avait comme emblème un ours, ce qui m’avait agréablement surpris ! A Séville, l’ambiance est vraiment différente…

Tout d’abord, il faut y aller. Comme mon copain aviateur était occupé sous d’autres cieux, j’ai du me résoudre à prendre les lignes régulières (Orly -> Madrid -> Séville). J’ai donc attendu 3 heures à l’aéroport de la capitale espagnole :

Une fois arrivé à Séville, dans un somptueux hôtel, un peu éloigné du centre ville, mais la ligne 34 assure des liaisons régulières et assez rapide avec la Plaza de Jerez ! Je pouvais prendre le « Metro » (un tram en fait) pour relier le centre ville (en passant entre la cathédrale et la FNAC – vi aussi à Séville…). J’ai appris par hasard qu’il venait d’être inauguré et qu’il avait connu son premier incident le même jour (un déraillement).

J’ai pu alors visiter les quelques grands monuments de la ville :

• l’Alcazar : c’est une ancienne résidence des rois d’Espagne, imprégnée d’art mauresque qui nous rappelle que le sud de l’Espagne a été pendant plusieurs siècles sous influence musulmane.

on se croirait facilement de l’autre côté de la Méditérannée

• la Cathédrale et son ancien minaret transformé en clocher (laGiralda). Etant ma petitesse et étant sa grandeur, je n’ai pas pu prendre de photo…
• la Plaza de España : à comparer à notre Tour Eiffel dans une autre dimension (pas la cinquième, juste horizontalement ;-)). Cet édifice date de 1929 et de l’exposition Ibéro/Américaine :

on a du mal à se rendre compte de la largeur du bâtiment (j’essaierai de monter le panoramique j’ai pris)

• la Plaza de Toros : comme son nom l’indique, il s’agit de l’arène où se déroulent les coridas. Le taureau est ainsi bien le symbole de la ville et plus globalement de l’Andalousie.

vous allez me dire qu’il n’y pas de Taureau… ben, ils ont eu peur de moi, c’est tout…

Quand on parle de taureau, on en voit la queue… dans son assiette !!! Et oui, ma gourmandise a encore frappé ! J’ai ainsi goûté à une des spécialités locales : la cola de toro (ou queue de taureau). Pas forcément très raffiné, mais succulent.

ma queue de taureau a déjà disparu de la table tellement c’est bon !

Pour finir ma balade de la ville, on ne peut échaper à l’autre sport local : le football. Donc, une petit photo d’un des deux stades de Séville :

Pourquoi ce stade et pas celui du FC Séville ? Pour deux raisons simples :

• mon hôtel était à côté du stade du Betis
• l’autre stade doit se trouver à un endroit proche d’Alesia (aucun Gaulois ne sait exactement où il se situe).

A bientôt !!!!